La longévité humaine est influencée par une multitude de facteurs, allant de la génétique à l’environnement, en passant par les choix de vie. Mais, au-delà des aspects biologiques et comportementaux, les relations humaines semblent jouer un rôle central dans la durée de vie. Plusieurs études ont exploré comment la qualité des interactions sociales et des relations interpersonnelles peut influencer la santé et la longévité. Cet article propose une synthèse des principales publications qui abordent ce lien.

La quête de la longévité, ou l’art de vivre plus longtemps, est une préoccupation ancienne de l'humanité. Au-delà des régimes alimentaires et de l'exercice physique, la spiritualité émerge comme un facteur potentiellement important influençant la longévité. De nombreuses études récentes montrent une différence notable dans l'espérance de vie entre les personnes croyantes et non croyantes, suggérant que la spiritualité pourrait jouer un rôle significatif dans la prolongation de la vie.

Le terme "coping" désigne l'ensemble des stratégies et des mécanismes que les individus utilisent pour faire face au stress, aux défis et aux émotions négatives. Ces stratégies, qu'elles soient conscientes ou inconscientes, jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé mentale et physique. Comprendre les différentes stratégies de coping et leur impact peut aider les individus à mieux gérer les situations stressantes et à améliorer leur bien-être général.

Au cours des dernières décennies, les recherches sur le microbiome intestinal ont révélé des liens surprenants entre la santé intestinale et le bien-être mental. En particulier, l'axe intestin-cerveau, un réseau complexe de communication entre le système gastro-intestinal et le système nerveux central, est de plus en plus reconnu comme jouant un rôle crucial dans la régulation des émotions et des comportements. L'une des voies majeures de cette communication est le nerf vague, une structure clé qui relie directement l'intestin au cerveau. Cet article explore les dernières découvertes scientifiques sur le lien entre le microbiome, la dépression, et le nerf vague.

La santé mentale est un aspect fondamental du bien-être global, influençant notre capacité à mener une vie équilibrée et satisfaisante. Elle est déterminée par une combinaison complexe de facteurs biologiques, psychologiques, sociaux et environnementaux. Comprendre ces déterminants est crucial pour la prévention, la gestion et le traitement des troubles mentaux. Cet article explore les principaux déterminants de la santé mentale, en s'appuyant sur des recherches et des études scientifiques pour fournir une vue d'ensemble complète.

Les thérapies cognitives comportementales (TCC) sont un ensemble de techniques psychothérapeutiques qui se sont avérées efficaces pour traiter une variété de troubles mentaux. En se concentrant sur l'interaction entre les pensées, les émotions et les comportements, les TCC visent à aider les individus à identifier et à modifier les schémas de pensée et les comportements problématiques. Depuis leur développement dans les années 1960, les TCC ont bénéficié d'une riche base de recherche qui confirme leur efficacité et leur applicabilité dans divers contextes cliniques. Cet article explore les principes des TCC, leurs applications cliniques, et les données actuelles de la recherche sur leur efficacité.

Les microglies sont des cellules immunitaires résidant dans le cerveau, jouant un rôle essentiel dans le maintien de l'homéostasie du système nerveux central (SNC). Elles sont impliquées dans diverses fonctions, allant de la surveillance du microenvironnement cérébral à la réponse aux lésions ou aux infections. Les signaux des microglies ont des implications profondes non seulement dans le maintien de la santé cérébrale mais aussi dans le développement cérébral, la plasticité neuronale, et les différences de sexe dans le cerveau. Cet article explore les rôles multifacettes des microglies, leur influence sur la santé et la maladie, et leurs contributions au développement cérébral spécifique au sexe.